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 Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick

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2 participants
AuteurMessage
Alicia Lovick
Fillette laconique
Alicia Lovick


Messages : 48
Date d'inscription : 08/11/2009

Possession/Don du personnage
Somme: 1200 yen
Don:
Arme(s):

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MessageSujet: Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick   Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick ClockMer 11 Nov - 0:31

Nom :
Lovick
Prénom :
Alicia
Surnom (facultatif) :
nin'jin' (carotte)
Age ::
Elle a treize ans.

Origine :
Monde réel, orphelinat de Nuwa, Nagoya (à l'ouest de Tôkyô)
Race :
Humaine
Métier / Classe :
Sans métier
Niveau de revenu :
Très pauvre

Physique :
Elle a un physique telle que la totalité des personnes la voyant pour la première fois la regarde avec étrangeté. Comme s’il venait de voir pour la première fois un incarné, et pourtant, la petite demoiselle est mignonne. Assise le dos bien droit, comme une fille de bonne famille, le regard posé sur la lointain. Une apparente petite fille tout ce qu’il y a de plus mignonne. Elle plaisait toujours aux couples qui venaient, en mal d’enfants. Mais aucun n’avait pu passer la carapace que s’était faite l’enfant. Ou tous s’arrêtait devant son regard froid qui regardait dehors. Tout percevait ce regard rougeâtre posé sur le dehors. Ces yeux rouges qui ne brillaient pas de cette lueur magique qu’on les enfants, pas plus qu’il ne brillait de joie ou de plaisir. Non, ces yeux rouges paraissaient froids et distants. Et si jamais ils quittaient leur observation, le regard restait froid, comme si notre présence dérangeait la petite demoiselle.

Mais il y avait un autre détail qui perturbait les personnes qui l’observaient. Sa chevelure rouge claire tombant en douce cascade autour de son visage à la peau rosée. Coupée un peu après ses épaules, ses cheveux sont raides par nature et jamais la petite demoiselle n’a songé à faire que cela change. Même si certains ont bien pensé à lui faire se teindre les cheveux pour qu’elle soit moins effrayante. Mais rien n’auraient changé son regard rouge, aussi froid que les neiges éternelles de l’Himalaya.

D’une taille moyenne pour une occidentale, elle paraissait un peu plus grande que ces camarades d’orphelinat du même âge qu’elle. Assez fluette, la demoiselle n’a jamais été bien épaisse. Pourtant, elle mange, quand elle y pense, quand elle détourne suffisamment sa tête de sa fenêtre pour se faire, ou qu’elle quittait son livre. Oui, la petite demoiselle parait frêle et l’est, mais elle fera tout pour montrer le contraire. Si on prête un peu d’attention à ses petites mains, on constate que ses mains sont parsemées de petites cicatrices, plus ou moins récentes. Elle ne sait plus exactement comment elle se les ait fait, mais elle se doute que c’est lié au fait qu’elle ait été enfermée dans sa chambre.


Signes particuliers : (optionnel)
Elle a constamment autour du poignet une gourmette de garçon, épaisse et argentée, dont le nom gravée dessus est Sven. Elle a récemment compris qu’il s’agissait de celle de son « père », même si ce dernier ignore son existence. Comme pour être sur qu’il est bien a elle, la petite a gravé sur le dos son propre prénom, mais il est peu lisible.

Caractère :
En treize ans de vie, Alicia était l’être le plus étrange que le monde ait pu porter. Grandissant sans parents, la gamine avait pourtant évolué d’une manière hors norme. D’un enfant, elle avait juste l’apparence, sans plus. Son mental n’avait rien de celui d’une jeune fille de treize ans. On lui en donnerait plus, au moins vingt. Et c’était ce constat qui effrayait tant les autres.

D’un naturel très calme, Alicia a tendance à choisir de ne parler que si cela se révèle nécessaire. Elle n’aime pas parler. C’est, selon elle, une perte de temps effarante. Alors elle opte pour le silence. Au moins, personne ne l’embête, personne ne pose de questions stupides et inutiles. Car les conversations futiles l’agacent, même si son visage reste neutre. Elle déteste cela. Surement parce que les autres ont toujours tendance à vouloir combler naïvement son silence par des paroles sans queue ni tête.

Alicia est une jeune fille méticuleuse dans ce qu’elle fait. Elle a tendance à souvent réfléchir par avance sur le moindre de ses gestes, la moindre de ses paroles, le moindre de ses mouvements. Un brin tacticienne, sans pour autant qu’autrui ne s’en rende réellement compte. Manipulatrice dans l’âme, elle fait en sorte que ce qui l’arrange arrive. Elle n’aime pas dépendre des autres et se débrouille en grande partie toute seule, autant que faire se peu.

Alicia n’aime pas jouer. Ou plutôt elle n’aime pas montrer qu’elle est une enfant. Après tout, une demoiselle de son âge à passé le temps de jouer à la poupée et à la maman et au papa. Elle n’a jamais eu l’âge de jouer, elle s’est toujours considérée comme une grande. Pas que son but premier soit d’effrayer les autres, mais c’est qu’elle ne s’est jamais perçue comme une enfant, comme les autres. Parce qu’ils s’étaient tous une fois au moins moqué d’elle. Alors elle avait choisi de les laisser jouer comme des enfants, pendant qu’elle lisait. La petite demoiselle n’aime pas ce qu’aime tout enfant normal. Elle n’aime pas les bonbons, les glaces, les gâteaux et autres sucreries. Il faut dire que sa façon de manger peu en effrayer plus d’un. Elle a tendance à oublier de manger. Non pas que ce soit volontaire, mais la petite demoiselle ne se perçoit pas la sensation de faim. Alors il lui arrive de ne pas manger de la journée, jusqu’au moment où elle se sentira faible, et où elle sait qu’elle doit manger.

Mais malgré toute cette froideur, Alicia n’est qu’une jeune demoiselle de treize ans, masquant un profond mal d’amour. Oh, jamais elle ne l’avouera de vive voix. Plutôt passé pour un cube de glace que ça ! Mais c’est bien le cas. Ce n’est qu’une adolescente qui s’est toujours renfermée sur elle-même sans apprendre à se tourner vers les autres. Et ce n’est étrangement pas au programme de sa vie. Certes, il y a bien le cas « Sven Lovick », mais c’est un cas à part. La petite demoiselle veut se faire une idée sur l’homme, avant de choisir la quelconque option. Il l’intrigue, parce que c’est son père. Elle l’idéalise un peu, mais elle en a parfaitement conscience. Au fond, il est fort possible qu’il soit d’une banalité affligeante. Certes, elle n’ignore pas qu’il soit célèbre dans la ville japonaise, mais pour l’instant, elle n’a pas encore déterminé quel schéma elle suivrait.


Histoire :
--- Alicia à treize ans ---
« Fait attention, où Nin’jin’ va t’emmener ce soir ! »
« Même pas vrai. »

Si Alicia avait écouté l’ensemble des paroles des personnes – adultes et enfants – de l’orphelinat la concernant, elle aurait été pire… Quoique ce n’est pas aisé de faire pire que ce qu’elle est devenue. Et pourtant… Elle aurait pu être comme les autres, si elle n’avait pas cette sensation que ses parents la méprisaient parce qu’elle était née. Sinon, elle aurait eu un nom depuis le début, pas Nin’jin’, comme la surnommait les trois-quarts, non, la totalité de l’orphelinat. Nin’jin’ la silencieuse. Nin’jin’ le monstre carnivore. Pourtant, c’était ironique, au vue de ses habitudes alimentaires.

Du haut de ses treize ans, la petite demoiselle ignorait les paroles qui l’entouraient, laissant son regard posé sur son livre. Elle semblait le lire, encore et encore. Mais elle le connaissait par cœur. Elle connaissait la moindre ligne, le moindre mot contenu. Cependant, elle n’avait pas pour autant percé le secret de ce livre. Ce si simple livre qui l’avait vu grandir, vivre et pleurer. Oh, elle n’avait pas toujours eu ce visage froid. Elle avait espéré. Mais tous ces espoirs avaient finis par s’envoler, la laissant constamment seule. Alors elle avait choisi de fermer son cœur aux autres. Elle avait choisi de se protéger ainsi.

--- Alicia à quatre ans ---
Poussée brutalement, la petite demoiselle se releva avec toute la prestance qu’elle avait, fusillant du regard celui qui venait de la faire tomber. Un garçon de trois ans son aîné. Elle ne l’aimait pas, tout comme il ne l’aimait pas. Il l’embêtait constamment, et jamais personne n’avait dit le moindre mot pour la défendre.

« T’as un problème, la muette ? »

Elle n’avait jamais parlé, parce que les autres lui faisaient peur. Parce qu’ils la regardaient méchamment, qu’ils se moquaient constamment d’elle, de ses yeux, de ses cheveux. Mais elle n’y pouvait rien. Elle aurait bien voulu leur faire comprendre, mais dès qu’elle s’approchait, tous la regardaient méchamment, tous se moquaient d’elle. Alors elle se calfeutrait dans son silence. Regardant méchamment l’autre garçon, la petite demoiselle ne bougea pas d’un pouce, jusqu’à ce qu’il s’approche d’elle et la bouscule encore, tout en lui tirant ses cheveux.

« Va-t’en, sorcière ! Nin’jin’ la sorcière ! »

Bien décidée à ne pas se laisser marcher sur les pieds, la petite demoiselle se releva encore, laissant un regard noir posé sur lui. Si elle était réellement une sorcière, cela expliquait que personne ne s’intéressait réellement à elle. Oh, certes, les adultes la regardaient, mais jamais elle n’était partie de ce lieu, jamais elle n’avait été emmené, comme tant d’autres enfants.

« Nin’jin’ la mauvaise ! Nin’jin’ la muette ! Nin’jin’ la méchante ! Nin’jin’ la pas normale ! »

La petite demoiselle sentait qu’on lui tirait les cheveux, elle entendait bien les paroles des autres enfants, toutes ses moqueries. Mais elle ne pleurerait pas devant leurs méchancetés. Elle ne leur procurerait pas ce bonheur, cette joie de les voir se moquer encore plus d’elle. Elle s’endurcirait, encore et encore, jusqu’à un jour pouvoir se moquer d’eux, leur faire autant de mal qu’ils lui en faisaient.

--- Alicia à cinq ans---
L’année passée avait été radicale sur l’évolution de la petite demoiselle. D’une petite demoiselle sortant de sa chambre, elle était devenue une demoiselle solitaire, passant son temps à lire devant la fenêtre de sa chambre. Elle avait appris à lire toute seule, luttant beaucoup, se trompant souvent, mais elle tirait une grande fierté de savoir se débrouiller seule. Elle n’avait pas besoin des autres pour vivre.
Oh bien sur, la vie n’était pas toujours rose, elle entendait souvent les autres se moquer d’elle, mais elle ne leur prêtait plus attention. Elle leur montrerait, un jour qu’elle était comme toutes les autres petites filles. Mais elle prendrait le temps qu’il faudra pour y arriver.

--- Alicia à six ans ---
Elle n’avait pas compris comment tout avait commencé. Comment un beau soir elle s’était retrouvée dans le hall, assise devant le piano, ses fins doigts posés sur les touches blanches du clavier. Elle ne comprenait pas, pas plus qu’elle ne comprit quand elle y retournait instinctivement. La nuit était suffisamment tombée dans le bâtiment, qu’elle se levait, quittant son lit pour rejoindre le piano. Elle savait toujours quand elle pouvait y aller sans risque, non pas qu’elle craignait de se faire surprendre, mais plutôt qu’elle préférait être seule dans ces moments. Comme si elle savait au final ce qu’elle faisait. Comme si c’était normal qu’elle fasse cela. Oh, elle ne doutait pas de la perception des autres. De toute façon, quitte à être étrange, autant l’être jusqu’au bout.

--- Alicia à treize ans---
Fermant brusquement son livre à une heure inhabituelle, la petite demoiselle ne prêta pas la moindre attention à la vieille femme ronchonne qui venait constamment s’occuper de sa chambre, et qui parlait tant qu’elle pouvait donner des maux de têtes à la demoiselle. Elle était bavarde, mille fois trop, selon la demoiselle. Mais jamais elle n’avait pris la peine de le lui dire. La vieille dame ne méritait pas qu’elle s’intéresse plus que ça à elle.

Malgré sa froideur, la petite demoiselle était contente. Elle avait compris. Elle avait démêlé l’énigme qui assombrissait sa vie. Il lui avait fallu beaucoup de temps, mais elle avait compris. Elle avait comprit qui elle était, et pour elle, cela était primordial. C’était nécessaire pour prendre sa revanche sur la vie, sur ceux qui auraient du être ses parents. Elle avait compris et d’un certain côté, cela la soulageait. Elle n’aurait plus à chercher, à vouloir démêler les écrits d’une femme dans un français assez déstabilisant quand on n’avait pas l’habitude de ce langage. Il lui avait fallu huit ans de dur labeur pour comprendre le contenu de ce livre. Bon certes, il lui avait fallu beaucoup de temps pour comprendre la langue, pour comprendre les mots, pour apprendre à le lire. C’était au fond ce qui lui avait pris temps de temps.


"M'est d'avis que tu ne sais même pas qui tu es."

Oh, si. Maintenant, elle savait. Pas seulement son prénom, pas seulement ce prénom écrit sur la deuxième de couverture de son livre. Pas ce prénom avec un petit mot affectif. Pas juste écrit Alicia. Non, maintenant, elle mettait un nom de famille, et pour elle, c’était important. Elle savait sur qui elle prendrait sa revanche. Elle n’avait pas encore totalement décidé de ce qu’elle ferait concernant son père, surtout que ce dernier ignorait tout de son existence.

« Attendez. »

Si la petite demoiselle avait montré le moindre de ses sentiments, cela aurait été un sourire moqueur qui aurait germé sur ses lèvres. Elle se doutait que le moindre mouvement de sa part inquièterait les autres. Ils avaient tous si facilement peur d’elle que cela en devenait risible. Elle aurait presque eu des remords à faire faire une crise cardiaque à la vieille femme. Mais c’était changeant de dérouter les gens. Ils avaient tous leurs petites habitudes, leurs petites manies qu’il ne fallait pas changer, sous peine de les traumatiser. Et là, elle le faisait avec une certaine joie malsaine.

« Je sais qui je suis. » déclara d’un ton neutre la petite demoiselle, quittant tranquillement son siège. Elle sentait presque d’ici l’odeur de fumée qui jaillissait des neurones de la vieille dame en pleine réflexion pour savoir comment elle pouvait affirmer une telle chose. Oh, elle ne doutait pas que la femme ne la croyait pas. Après tout, qui croirait une gamine qui sortait du silence juste pour dire cela ? Elle savait parfaitement que si l’envie la prenait de le dire à son père, elle aurait le même problème. Lui faire comprendre qu’elle ne mentait pas, qu’elle était bel et bien sa fille de sang, sans pour autant qu’il s’en soit occuper.

"Ton... ton livre?"

La petite demoiselle tourna tranquillement sa tête vers l’ouvrage qui restait sur la chaise. Elle ne ressentait plus le besoin de se raccrocher au livre. Elle avait percé le secret qu’il contenait. Elle n’en avait plus besoin. « Je n’en ai plus besoins. Je le connais par cœur maintenant, il est plus que temps que je passe à autre chose. » Autre chose que se ronger le sang en cherchant à comprendre. Elle pouvait avancer tranquillement, prendre sa revanche sur ceux qui l’avait laissé seule dans cet endroit lugubre, sur ceux qui se moquait d’elle en disant que personne ne l’aimait. Oh, elle n’avait guère d’illusion vis-à-vis de son père. Aucun doute sur son comportement, pourquoi éprouverait-il la moindre sensation vis-a-vis d’une gamine inconnue qui se prétendait être sa fille ? Non, elle savait qu’elle ne devait rien attendre de son père.

"N...nani? s'étonna Umeko... mais, mais... attend Alicia! Où-est ce que tu vas, voyons, tu es en robe de chambre."

Ne prenant même pas la peine de regarder les personnes qui trainaient dans le coin, en l’occurrence deux jeune garçons qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam, la petite demoiselle ne comptait pas s’arrêter. Qu’importe sa tenue, en fait, elle avait même déjà prévu ce cas-là. Elle n’avait si soudainement choisi de faire ces gestes. Elle aurait pu continuer à se leurrer encore longtemps sur le fait que son père ignorait tout de son existence, qu’elle était le sombre résultat d’une mauvaise blague. Mais cela n’aurait servi à rien. Elle devait continuer à avancer, et affronter froidement la vérité lui suffisait.

"Où-est ce que tu vas Alicia ? " demanda Umeko. La petite demoiselle s’arrêta quelques instants, le temps de la regarder avec cette froideur si caractéristique.
« Je vais retrouver mon père » Nin’jin’ avait conscience qu’elle ne disait pas l’entière vérité. Elle ignorait encore si elle resterait avec lui ou si elle se déciderait à vivre toute seule. Après tout, elle avait passé depuis longtemps l’âge qu’on la materne. Certes, cette vieille dame semblait tenir à le faire encore un peu. Mais elle agaçait la petite demoiselle encore plus qu’en temps ordinaire. Reprenant d’un pas tranquille sa marche, la petite demoiselle contait bien faire une sortie digne de ce nom. Autant qu’ils pensent qu’elle n’était définitivement pas une adolescente normale, cela ne la blessait plus… plus trop…

"Mais... mais alors tu veux dire que tu sais qui sais. "

Retenant un soupir de lassitude devant le manque flagrant de réflexion de la vieille femme, Alicia reprit d’un ton égal à elle-même « Bien sûr. Je vous ai déjà dit: je sais qui je suis » Elle se demandait s’il fallait qu’elle lui fasse aimablement remarquer que les sonotones ne seraient pas de trop pour elle. Mais la vieille dame l’agaçait déjà assez, elle n’avait strictement aucune envie qu’elle se décide à la poursuivre encore plus que nécessaire.

"Alicia, voyons, nous ne pouvons pas te laisser partir. Il faut que tu nous parles." Elle était définitivement agaçante. Retenant au mieux son exaspération, Nin’jin’ se tourna une dernière fois vers la vieille dame. Elle ne se retournerait pas. Elle en avait assez de devoir faire la conversation à une personne au trois-quarts sénile. Peut-être devrait-elle songé à lui faire un dessin pour qu’elle comprenne ? Quoiqu’elle doutait de ses qualités de dessinatrice, puisqu’il y avait bien longtemps qu’elle ne s’était pas servi d’un crayon pour ce but.

« Que voulez-vous savoir sur moi? »

La regardant froidement, Alicia retint un soupir, sachant qu’lle ne répondrait plus qu’à une dernière question, avant de partir. Pas deux, pas trois, pas une panoplie. Une et une seule. Mais étrangement, elle se doutait des paroles qui sortiraient de la bouche de son interlocutrice. Cette question qui avait hanté les murs durant près de douze ans.

"Euh... qui es-tu exactement ? "

Plantant son regard dans celui de son interlocutrice pour la dernière fois, la petite demoiselle se retint d’esquisser un sourire amusé. Elle avait envie de lâcher la bombe avant de partir. Après, qu’ils s’amusent à chercher à comprendre, ce n’en serait que plus amusant, même si elle ne pourrait pas savourer pleinement leur visage. Elle n’aurait pas le loisir d’observer le visage étonné des autres habitants de l’orphelinat.

« Je m'appelle Lovick. Alicia Lovick. Et je suis la fille du maire de Tôkyô. »

Savourant l’air étonné de la vieille dame, la jeune Alicia se remit en marche, quittant sans plus attendre la vieille dame. Elle ne prêta pas la moindre attention aux autres personnes se trouvant près d’elle, ni au moment où elle avait laissé ses paroles fusées, pas plus qu’elle n’y faisait attention quand elle quittait l’établissement. Elle savait où elle devait aller, et y serait relativement rapidement. Elle comptait bien voir son père au moins une fois dans sa vie.

Autres infos ?
- Alicia souffre de trouble de l’alimentation depuis déjà quelques années.
- Alicia a des gestes qui peuvent paraitre complètement décalée pour les autres, mais tout à fait normaux pour elle – dont jouer du piano à minuit -.
- Elle connait une et une seule mélodie au piano, ainsi que les paroles par cœur. Musique
- Elle lit couramment l’anglais, en plus de maîtriser correctement le japonais.

Arme :
Rien
___________________________________________________________________

Info de celui/celle qui fait le personnage:

Surnom : moi
Age : 20 ans
Comment avez-vous connu le forum ? par l’admin
Avez-vous lu le règlement ? CODE BON par Sven Lovick
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Sven Lovick
Dirigeant énigmatique
Sven Lovick


Messages : 303
Date d'inscription : 26/08/2008

Possession/Don du personnage
Somme: 1 000 000 yen
Don: /
Arme(s): Revolver à silencieux

Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick Empty
MessageSujet: Re: Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick   Alicia Lovick, fille illégitime de Sven Lovick ClockMer 11 Nov - 2:09

Bonjour et bienvenue parmi nous!

Hé bien je n'ai rien à redire sur ta fiche. Tout me semble très bien!

Bon jeu à toi, tu peux désormais poster!
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